Franz Schneider

De Lamentations de Jérémie.

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(Pulkau 1737 – Melk 1812). Compositeur et organiste autrichien, il apprend dès son enfance les principes de la musique et du violon, du clavecin, de l'orgue et de plusieurs instruments à vent, est nommé en 1753 sous-maître à l'école de Weitzendorf, puis Kantor à Pulkau, à Rætz et à Pæggstall, devient élève de Johann Georg Albrechtsberger à Maria Taferl en 1757, se rend avec lui à Melk où il devient organiste de l'église paroissiale en 1760, et suppléant de son maître à l'abbaye bénédictine en 1766, obtient la direction du chœur à Saint-Pölten. Il laisse de nombreuses compositions dans les archives de l'abbaye de Melk parmi lesquelles on trouve des Lamentations. Selon Fétis, on remarque dans ses œuvres un style facile et naturel.
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(Pulkau 1737 – Melk 1812)
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Compositeur et organiste autrichien, il apprend dès son enfance les principes de la musique et du violon, du clavecin, de l'orgue et de plusieurs instruments à vent, est nommé en 1753 sous-maître à l'école de Weitzendorf, puis ''kantor'' à Pulkau, à Rætz et à Pæggstall, devient élève de Johann Georg Albrechtsberger à Maria Taferl en 1757, se rend avec lui à Melk où il devient organiste de l'église paroissiale en 1760, et suppléant de son maître à l'abbaye bénédictine en 1766, obtient la direction du chœur à Saint-Pölten.  
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Il laisse de nombreuses compositions dans les archives de l'abbaye de Melk parmi lesquelles on trouve des ''Lamentations''. Selon [[Source|'''Fétis''']], on remarque dans ses œuvres ''un style facile et naturel''.

Version du 7 septembre 2010 à 17:46

(Pulkau 1737 – Melk 1812)

Compositeur et organiste autrichien, il apprend dès son enfance les principes de la musique et du violon, du clavecin, de l'orgue et de plusieurs instruments à vent, est nommé en 1753 sous-maître à l'école de Weitzendorf, puis kantor à Pulkau, à Rætz et à Pæggstall, devient élève de Johann Georg Albrechtsberger à Maria Taferl en 1757, se rend avec lui à Melk où il devient organiste de l'église paroissiale en 1760, et suppléant de son maître à l'abbaye bénédictine en 1766, obtient la direction du chœur à Saint-Pölten.

Il laisse de nombreuses compositions dans les archives de l'abbaye de Melk parmi lesquelles on trouve des Lamentations. Selon Fétis, on remarque dans ses œuvres un style facile et naturel.