Johann Caspar Aiblinger
De Lamentations de Jérémie.
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Compositeur allemand, Aiblinger reçoit sa première formation musicale à l'abbaye bénédictine de Tegernsee, devient en 1819 ''kapellmeister'' à ''l'Italian Opera'' de Munich, est nommé en 1826 ''Court Kapellmeister'' pour la musique d'église et, après avoir quitté l'Italian Opera, travaille à ''l'Allerheiligenkirche'', l'église de cour à Munich, est envoyé en 1833 par le Prince Maximilien en Italie pour rassembler de la musique ancienne religieuse, influence avec Michael Hauber et Caspar Ett la renaissance de la musique d'église. | Compositeur allemand, Aiblinger reçoit sa première formation musicale à l'abbaye bénédictine de Tegernsee, devient en 1819 ''kapellmeister'' à ''l'Italian Opera'' de Munich, est nommé en 1826 ''Court Kapellmeister'' pour la musique d'église et, après avoir quitté l'Italian Opera, travaille à ''l'Allerheiligenkirche'', l'église de cour à Munich, est envoyé en 1833 par le Prince Maximilien en Italie pour rassembler de la musique ancienne religieuse, influence avec Michael Hauber et Caspar Ett la renaissance de la musique d'église. | ||
Ses œuvres sacrées sont restées manuscrites et figurent encore à Saint Kajetan à Munich (D-Mk, cat. Hauk, réf. c290) : Propres, Offices, cantiques, etc., incluant des ''Lamentations''. | Ses œuvres sacrées sont restées manuscrites et figurent encore à Saint Kajetan à Munich (D-Mk, cat. Hauk, réf. c290) : Propres, Offices, cantiques, etc., incluant des ''Lamentations''. | ||
Version du 7 mai 2010 à 13:48
[Kaspar]
(Wasserburg am Inn 1779 – Munich 1867)
Compositeur allemand, Aiblinger reçoit sa première formation musicale à l'abbaye bénédictine de Tegernsee, devient en 1819 kapellmeister à l'Italian Opera de Munich, est nommé en 1826 Court Kapellmeister pour la musique d'église et, après avoir quitté l'Italian Opera, travaille à l'Allerheiligenkirche, l'église de cour à Munich, est envoyé en 1833 par le Prince Maximilien en Italie pour rassembler de la musique ancienne religieuse, influence avec Michael Hauber et Caspar Ett la renaissance de la musique d'église.
Ses œuvres sacrées sont restées manuscrites et figurent encore à Saint Kajetan à Munich (D-Mk, cat. Hauk, réf. c290) : Propres, Offices, cantiques, etc., incluant des Lamentations.
