Manuel Leitão de Avilez

De Lamentations de Jérémie.

(Différences entre les versions)
m (A protégé « Manuel Leitão de Avilez » ([edit=autoconfirmed] (infini) [move=autoconfirmed] (infini)))
 
Ligne 1 : Ligne 1 :
['''Avilés, Avilés Lusitano, Leitam, Leitán, Leytao, Leitón, Manoel''']
['''Avilés, Avilés Lusitano, Leitam, Leitán, Leytao, Leitón, Manoel''']
-
(Portalègre XVI<sup>e</sup> – Grenade 1630)  
+
(Portalègre XVIe – Grenade entre le 13 septembre et le 25 octobre 1630)  
Compositeur portugais, il est d'abord enfant de chœur à la cathédrale de Portalègre, où il étudie avec Antonio Ferro, devient en 1601 ''maestro de capilla'' de Ubeda puis, en 1603 de la ''Capilla Real'' de Grenade, poste qu'il occupe jusqu'à sa mort.  
Compositeur portugais, il est d'abord enfant de chœur à la cathédrale de Portalègre, où il étudie avec Antonio Ferro, devient en 1601 ''maestro de capilla'' de Ubeda puis, en 1603 de la ''Capilla Real'' de Grenade, poste qu'il occupe jusqu'à sa mort.  
La majeure partie de ses œuvres recensées dans le catalogue de la Bibliothèque du Roi du Portugal, Jean IV le Fortuné, ont été détruites lors du terrible tremblement de terre de Lisbonne en 1755. Celles qui ont survécu comprennent deux Lamentations incomplètes, ''Quomodo sedet sola civitas'' et ''Non est inventus similis illi'', toutes les 2 pour 4 vx ([[Abréviations|E-GRcr]]).
La majeure partie de ses œuvres recensées dans le catalogue de la Bibliothèque du Roi du Portugal, Jean IV le Fortuné, ont été détruites lors du terrible tremblement de terre de Lisbonne en 1755. Celles qui ont survécu comprennent deux Lamentations incomplètes, ''Quomodo sedet sola civitas'' et ''Non est inventus similis illi'', toutes les 2 pour 4 vx ([[Abréviations|E-GRcr]]).

Version actuelle en date du 29 janvier 2019 à 15:37

[Avilés, Avilés Lusitano, Leitam, Leitán, Leytao, Leitón, Manoel]

(Portalègre XVIe – Grenade entre le 13 septembre et le 25 octobre 1630)

Compositeur portugais, il est d'abord enfant de chœur à la cathédrale de Portalègre, où il étudie avec Antonio Ferro, devient en 1601 maestro de capilla de Ubeda puis, en 1603 de la Capilla Real de Grenade, poste qu'il occupe jusqu'à sa mort.

La majeure partie de ses œuvres recensées dans le catalogue de la Bibliothèque du Roi du Portugal, Jean IV le Fortuné, ont été détruites lors du terrible tremblement de terre de Lisbonne en 1755. Celles qui ont survécu comprennent deux Lamentations incomplètes, Quomodo sedet sola civitas et Non est inventus similis illi, toutes les 2 pour 4 vx (E-GRcr).

Outils personnels