José María Alvarez

De Lamentations de Jérémie.

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(Tuy, Pontevedra 1810 – Tuy 1882)
(Tuy, Pontevedra 1810 – Tuy 1882)
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Maître de chapelle espagnol, il semble avoir acquis sa formation musicale à la cathédrale de Tuy, apprend le violon en 1824 avec Manuel Troncoso, la composition en 1831 avec Ramón Palacio à Saint-Jacques-de-Compostelle, succède en 1834 à Manuel Rábago à la tête de la chapelle musicale de la cathédrale de Tuy.  
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Maître de chapelle espagnol, il semble avoir acquis sa formation musicale à la cathédrale de Tuy, apprend le violon en 1824 avec Manuel Troncoso, la composition en 1831 avec Ramón Palacio à Saint-Jacques-de-Compostelle, succède en 1834 à Manuel Rábago à la tête de la chapelle musicale de la cathédrale de Tuy.<ref name="Asselin">Pierre-Yves Asselin, ''Musique et tempéraments'' (Québec), éditions Jobert, 2000 </ref>
Ses compositions bénéficient d'une esthétique s'appuyant sur un style polyphonique classique, de conception homophonique à 4 ou 5 vx avec bc, et recourant à des chromatismes et des modulations de grand effet. Ses œuvres conservées en manuscrits dans les archives de la cathédrale de Tuy ([[Abréviations|E-TUc]]) révèlent les ''lamentaciones'' suivantes :  
Ses compositions bénéficient d'une esthétique s'appuyant sur un style polyphonique classique, de conception homophonique à 4 ou 5 vx avec bc, et recourant à des chromatismes et des modulations de grand effet. Ses œuvres conservées en manuscrits dans les archives de la cathédrale de Tuy ([[Abréviations|E-TUc]]) révèlent les ''lamentaciones'' suivantes :  

Version du 7 mai 2010 à 16:07

(Tuy, Pontevedra 1810 – Tuy 1882)

Maître de chapelle espagnol, il semble avoir acquis sa formation musicale à la cathédrale de Tuy, apprend le violon en 1824 avec Manuel Troncoso, la composition en 1831 avec Ramón Palacio à Saint-Jacques-de-Compostelle, succède en 1834 à Manuel Rábago à la tête de la chapelle musicale de la cathédrale de Tuy.<ref name="Asselin">Pierre-Yves Asselin, Musique et tempéraments (Québec), éditions Jobert, 2000 </ref>

Ses compositions bénéficient d'une esthétique s'appuyant sur un style polyphonique classique, de conception homophonique à 4 ou 5 vx avec bc, et recourant à des chromatismes et des modulations de grand effet. Ses œuvres conservées en manuscrits dans les archives de la cathédrale de Tuy (E-TUc) révèlent les lamentaciones suivantes :

Manum suam, en Mi -, pour vx solo, fls, bn, cors, vns et bc, 1835,
Cogitavit Dominus, en La, à 5 vx, fl, htb, cors, vns et bc, 1844
Matribus suis, en Ré pour S, fl, cl, bns, cors, trombone, vns et bc, 1848,
Et egressus est, en Mi - pour 2 vx, fls, cl, cors, oph., vns et bc, 1852,
Cogitavit Dominus, en Mi &flat;, à 5 vx, fl, bn, cors, vns et bc (n.d.).
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