José Francisco de las Llagas Velásquez

De Lamentations de Jérémie.

(Différences entre les versions)
m (A protégé « José Francisco de las Llagas Velásquez » ([edit=autoconfirmed] (infini) [move=autoconfirmed] (infini)))
 
Ligne 1 : Ligne 1 :
-
['''El Viejo''']
+
['''El Viejo, Velázquez''']
-
(Caracas 1735 – Caracas 1805)  
+
(Caracas 15 septembre 1735 – Caracas 24 décembre 1805)
 +
-
Compositeur vénézuélien, on connaît peu de choses de sa biographie sinon qu'il est ''maestro instructor'' du bataillon de Pardos de los Valles de Aragua et qu'il retourne ensuite à Caracas.  
+
Compositeur créole vénézuélien, on connaît peu de choses de sa biographie tant il est confus avec son fils [[José Francisco Teodosio de Jesús Velásquez]], il est lié au grand mouvement musical vénézuélien connu sous le nom d'école de ''Chacao'', est ''maestro instructor du Batallón de Pardos de los Valles'' des vallées d'Aragua et qu'il retourne ensuite à Caracas.  
-
Les œuvres religieuses retrouvées ne peuvent être attribuées avec certitude au père ou au fils ([[José Francisco Teodosio de Jesús Velásquez]]). On y trouve la ''Lamentación 2a del Jueves Santo'', 1800 ([[Abréviations|V-Cel]]).
+
Il est un auteur prolifique de musique religieuse, sans doute un des compositeurs coloniaux les plus féconds (Grande Encyclopédie du Venezuela, 1998).  Les œuvres religieuses retrouvées, qui démontrent une invention fluide et belle, ne peuvent être attribuées avec certitude au père ou au fils. On y trouve la ''Lamentación 2a del Jueves Santo'', 1800 ([[Abréviations|V-Cel]]).

Version actuelle en date du 19 mars 2019 à 15:17

[El Viejo, Velázquez]

(Caracas 15 septembre 1735 – Caracas 24 décembre 1805)


Compositeur créole vénézuélien, on connaît peu de choses de sa biographie tant il est confus avec son fils José Francisco Teodosio de Jesús Velásquez, il est lié au grand mouvement musical vénézuélien connu sous le nom d'école de Chacao, est maestro instructor du Batallón de Pardos de los Valles des vallées d'Aragua et qu'il retourne ensuite à Caracas.

Il est un auteur prolifique de musique religieuse, sans doute un des compositeurs coloniaux les plus féconds (Grande Encyclopédie du Venezuela, 1998). Les œuvres religieuses retrouvées, qui démontrent une invention fluide et belle, ne peuvent être attribuées avec certitude au père ou au fils. On y trouve la Lamentación 2a del Jueves Santo, 1800 (V-Cel).

Outils personnels