José Francisco Teodosio de Jesús Velásquez

De Lamentations de Jérémie.

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(Caracas 1781 – Caracas 1822)
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(Caracas 25 mars 1781 – Caracas 24 juillet 1822)
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Compositeur et organiste vénézuélien, il étudie la musique avec son père et Juan Manuel Olivares, maintient à partir 1812 une activité musicale pour les matines et les fêtes de la Vierge en la confrérie de l'église de San Mauricio, de San Pablo, San Jacinto, San Javier, Francisco Javier Solórzano.  
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Compositeur et organiste vénézuélien, il étudie la musique avec son père [[José Francisco de las Llagas Velásquez]] et Juan Manuel Olivares, appartient à la célèbre école de Chacao, maintient à partir 1812 une activité musicale pour différentes confréries religieuses à Caracas, tient les orgues dans différentes églises locales dont celle de San Mauricio pour les matines et les fêtes de la Vierge à partir de 1812, celle de San Pablo, de l'''archicofradía del Rosario'' de l'église de San Jacinto, San Javier, œuvre également pour la musique des fêtes de la marine en 1818.
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Les œuvres religieuses retrouvées ne peuvent être attribuées avec certitude au père ([[José Francisco de las Llagas Velásquez]]) ou au fils. On y trouve la ''Lamentación 2a del Jueves Santo'', 1800 ([[Abréviations|V-Cel]]).
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Son style est plutôt celui des tonadilla española. Les œuvres religieuses retrouvées ne peuvent être attribuées avec certitude au père ([[José Francisco de las Llagas Velásquez]]) ou au fils. On y trouve la ''Lamentación 2a del Jueves Santo'', 1800 ([[Abréviations|V-Cel]]).

Version actuelle en date du 19 mars 2019 à 15:21

(Caracas 25 mars 1781 – Caracas 24 juillet 1822)

Compositeur et organiste vénézuélien, il étudie la musique avec son père José Francisco de las Llagas Velásquez et Juan Manuel Olivares, appartient à la célèbre école de Chacao, maintient à partir 1812 une activité musicale pour différentes confréries religieuses à Caracas, tient les orgues dans différentes églises locales dont celle de San Mauricio pour les matines et les fêtes de la Vierge à partir de 1812, celle de San Pablo, de l'archicofradía del Rosario de l'église de San Jacinto, San Javier, œuvre également pour la musique des fêtes de la marine en 1818.

Son style est plutôt celui des tonadilla española. Les œuvres religieuses retrouvées ne peuvent être attribuées avec certitude au père (José Francisco de las Llagas Velásquez) ou au fils. On y trouve la Lamentación 2a del Jueves Santo, 1800 (V-Cel).

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