Francesco de Asís Esteban Asenjo Barbieri

De Lamentations de Jérémie.

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Compositeur, musicologue, critique et chef d'orchestre espagnol, il reçoit sa formation musicale de son grand-père maternel, étudie le solfège avec José Ordónez Mayorito, entre en 1837 au ''Conservatorio de Música y Declamación'' de María Cristina, étudiant la clarinette avec Ramón Broca, le piano avec Pedro Pérez de Albéniz, le chant avec [[Baltasar Saldoni]] et la composition avec [[Ramón Carnicer y Battle]], gagne péniblement sa vie comme clarinettiste, pianiste, professeur et copiste après le départ à Lucena de sa famille en 1841, compose des chansons et des danses, chante comme baryton dans des opéras italiens au conservatoire et au ''Teatro del Circo'', commence à écrire des ''zarzuelas'', devient en 1845 ''maestro de música'' de la ''Escuela de Nobles y Bellas'' Artes de San Eloy de Salamanque et ''maestro director del Liceo Salmantino'', rejoint un groupe de musiciens progressistes pour créer avec [[Miguel Hilarión Eslava y Elizondo]], Vélez de Medrano, Emilio Arrieta Corera, Basilio Basili, [[Baltasar Saldoni]] Remendo, Joaquin Romualdo Gaztambide, Francisco Lleroa Salas et Antonio Peña y Goñi, un opéra national sous le nom de la ''La España Musical'' et l'année suivante rejoint le ''Madrid Liceo'' pour lequel il a chanté et composé, écrit à partir de 1849 pour la revue ''La ilustración'', crée en 1851 la ''Sociedad de Artistas'' avec le poète Luis de Olona, inaugure la même année le genre de ''zarzuela'' à trois actes au lieu d'un seul, à cette occasion construction en 1856 à Madrid du ''Teatro'' de la Zarzuela réservé à ce genre de représentations, publie plusieurs ouvrages littéraires, donne ses premiers concerts d'orchestre à Madrid en 1859 puis les années suivantes dans toute l'Europe, fonde en 1866 la première ''Sociedad de Conciertos'' de la capitale espagnole, continue de composer jusqu'à sa mort.  
Compositeur, musicologue, critique et chef d'orchestre espagnol, il reçoit sa formation musicale de son grand-père maternel, étudie le solfège avec José Ordónez Mayorito, entre en 1837 au ''Conservatorio de Música y Declamación'' de María Cristina, étudiant la clarinette avec Ramón Broca, le piano avec Pedro Pérez de Albéniz, le chant avec [[Baltasar Saldoni]] et la composition avec [[Ramón Carnicer y Battle]], gagne péniblement sa vie comme clarinettiste, pianiste, professeur et copiste après le départ à Lucena de sa famille en 1841, compose des chansons et des danses, chante comme baryton dans des opéras italiens au conservatoire et au ''Teatro del Circo'', commence à écrire des ''zarzuelas'', devient en 1845 ''maestro de música'' de la ''Escuela de Nobles y Bellas'' Artes de San Eloy de Salamanque et ''maestro director del Liceo Salmantino'', rejoint un groupe de musiciens progressistes pour créer avec [[Miguel Hilarión Eslava y Elizondo]], Vélez de Medrano, Emilio Arrieta Corera, Basilio Basili, [[Baltasar Saldoni]] Remendo, Joaquin Romualdo Gaztambide, Francisco Lleroa Salas et Antonio Peña y Goñi, un opéra national sous le nom de la ''La España Musical'' et l'année suivante rejoint le ''Madrid Liceo'' pour lequel il a chanté et composé, écrit à partir de 1849 pour la revue ''La ilustración'', crée en 1851 la ''Sociedad de Artistas'' avec le poète Luis de Olona, inaugure la même année le genre de ''zarzuela'' à trois actes au lieu d'un seul, à cette occasion construction en 1856 à Madrid du ''Teatro'' de la Zarzuela réservé à ce genre de représentations, publie plusieurs ouvrages littéraires, donne ses premiers concerts d'orchestre à Madrid en 1859 puis les années suivantes dans toute l'Europe, fonde en 1866 la première ''Sociedad de Conciertos'' de la capitale espagnole, continue de composer jusqu'à sa mort.  
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Parmi les rares pièces de musique religieuse, il laisse en ms les ''Lamentations de Jérémie'' suivantes (E-Mp, M.Barbieri/4) :  
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Parmi les rares pièces de musique religieuse, il laisse en ms les ''Lamentations de Jérémie'' suivantes ([[Abréviations|E-Mp]], M.Barbieri/4) :  
* ''Lamentación 1ª por T et Ba, Miércoles Santo, Lamentación á duo de tenor y bajo'' [2ª], ''Lamentación'' 3ª [por T],
* ''Lamentación 1ª por T et Ba, Miércoles Santo, Lamentación á duo de tenor y bajo'' [2ª], ''Lamentación'' 3ª [por T],
* ''2º día, 1ª lamentación [por T et Ba], 2a Lam. [por T et Ba], Lam. de Jueves Santo'' [3ª por T et Ba].
* ''2º día, 1ª lamentación [por T et Ba], 2a Lam. [por T et Ba], Lam. de Jueves Santo'' [3ª por T et Ba].
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Version actuelle en date du 24 mai 2010 à 15:05

(Madrid 1823 – Madrid 1894)

Compositeur, musicologue, critique et chef d'orchestre espagnol, il reçoit sa formation musicale de son grand-père maternel, étudie le solfège avec José Ordónez Mayorito, entre en 1837 au Conservatorio de Música y Declamación de María Cristina, étudiant la clarinette avec Ramón Broca, le piano avec Pedro Pérez de Albéniz, le chant avec Baltasar Saldoni et la composition avec Ramón Carnicer y Battle, gagne péniblement sa vie comme clarinettiste, pianiste, professeur et copiste après le départ à Lucena de sa famille en 1841, compose des chansons et des danses, chante comme baryton dans des opéras italiens au conservatoire et au Teatro del Circo, commence à écrire des zarzuelas, devient en 1845 maestro de música de la Escuela de Nobles y Bellas Artes de San Eloy de Salamanque et maestro director del Liceo Salmantino, rejoint un groupe de musiciens progressistes pour créer avec Miguel Hilarión Eslava y Elizondo, Vélez de Medrano, Emilio Arrieta Corera, Basilio Basili, Baltasar Saldoni Remendo, Joaquin Romualdo Gaztambide, Francisco Lleroa Salas et Antonio Peña y Goñi, un opéra national sous le nom de la La España Musical et l'année suivante rejoint le Madrid Liceo pour lequel il a chanté et composé, écrit à partir de 1849 pour la revue La ilustración, crée en 1851 la Sociedad de Artistas avec le poète Luis de Olona, inaugure la même année le genre de zarzuela à trois actes au lieu d'un seul, à cette occasion construction en 1856 à Madrid du Teatro de la Zarzuela réservé à ce genre de représentations, publie plusieurs ouvrages littéraires, donne ses premiers concerts d'orchestre à Madrid en 1859 puis les années suivantes dans toute l'Europe, fonde en 1866 la première Sociedad de Conciertos de la capitale espagnole, continue de composer jusqu'à sa mort.

Parmi les rares pièces de musique religieuse, il laisse en ms les Lamentations de Jérémie suivantes (E-Mp, M.Barbieri/4) :

  • Lamentación 1ª por T et Ba, Miércoles Santo, Lamentación á duo de tenor y bajo [2ª], Lamentación 3ª [por T],
  • 2º día, 1ª lamentación [por T et Ba], 2a Lam. [por T et Ba], Lam. de Jueves Santo [3ª por T et Ba].


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