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De Lamentations de Jérémie.

Yogi, prenez la peine de lire les deux hspares que vous avez coupe9 dans votre citation, et qui pre9ce8dent le passage dans lequel Marie de Hennezel e9voque l'hypocrisie. Quand parle-t-elle d'hypocrisie ? Uniquement en e9voquant ceux qui estiment qu'il n'y a pas de diffe9rence entre donner la mort et laisser mourir.*Isabelle, J’appelle ceci une manipulation, Koz, car il ne devra jamais y avoir e0 refuser l’euthanasie !! Bien essaye9, Koz, mais la ficelle est un peu grosse. Ces deux extraits, venant pre9cise9ment apre8s que j'ai pris la peine de vous re9pondre sur un point essentiel, vous rappellent-ils certains commentaires ? Comprenez que je ne sois pas spe9cialement sensible e0 vos conseils sur l'e9coute ni e0 votre conseil d'eatre moins pe9remptoire.Et, effectivement, je vous trouve bien soucieuse de votre liberte9, de votre choix, et beaucoup moins diserte sur la liberte9 des autres, sur le choix des autres. Et oui, j'y vois un individualisme bien dans l'air du temps. Et un certain e9goefsme. Navre9.* Et effectivement, cette conside9ration en ame8ne une autre. dans un pays qui pratique de fae7on libe9rale l’euthanasie, qu’en sera-t-il de la recherche sur l’ame9lioration des soins palliatifs et de la re9duction de la douleur. Le caracte8re d’urgence de la chose en serait certainement un peu atte9nue9. De meame, le gouvernement qui e9conomise ainsi des millions d’euros (10 000 personnes avec une pre9diction e0 2/3 semaines dans une phase hospitalie8re e7a commence se9rieusement e0 peser en termes d’e9conomies re9alise9es sur une population de 16 M de personnes) sera-t-il enclin e0 favoriser e0 outrance la recherche visant e0 un retour “en arrie8re” visant e0 prolonger la vie peut eatre d’un mois voire plus pour certains cas mais sans douleur ? J’en n’en suis pas si sfbr. J’ai acquis une certitude en tout cas : Nous ne vivons pas dans un monde de Bisounours. Oui, e7a me semble clairement e0 craindre. Face e0 l'agonie du patient, on aura le choix entre occuper le lit pendant six jours et e9voquer la possibilite9 avec le patient, ou sa famille, d'en finir plus vite.Mais, nous dit-on, il y aura des garde-fous et les me9decins sont des gens formidables. Il n'y en pas un qui pourrait imaginer de raisonner comme e7a.Le tout, c'est d'en eatre persuade9.Par principe.Ou pour ne pas voir le risque be9ant.

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