Origine de l'Office des Ténèbres

De Lamentations de Jérémie.

 
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Les Lamentations de Jérémie ont été intégrées progressivement dans la liturgie catholique dont on trouve des traces dès le IVe siècle, avec le ''Triduum pascal'', les Vendredi, Samedi et Dimanche de Pâques, comme l'atteste Saint Augustin (354-430) avec cette expression significative ''Triduum Christi crucifixi, sepulti et ressuscitati'' ou encore chez d'autres Pères de l'Eglise comme saint Ambroise (~330-397) ou saint Léon (V<sup>e</sup> siècle). Cette célébration se situe, vers le VII<sup>e</sup> siècle, trois jours précédant le dimanche de Pâques. C'est le ''Sacrum triduum''. On en a quelques traces grâce aux actes du Concile IV de Tolède en Espagne (an 633) qui montre déjà qu'à cette époque, liturgie et chant hispanique étaient unifiés. Les Lamentations de Jérémie qui apparaissent dans l'Antiphonarium mozarabe<sup>[[#1]]</sup> du XIII<sup>e</sup> conservé au monastère Santo Domingo de Silos, appartiennent à une période comprise entre le VIII<sup>e</sup> et le IX<sup>e</sup> siècle.
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=== Origine ===
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Les Lamentations de Jérémie ont été intégrées progressivement dans la liturgie catholique dont on trouve des traces dès le IV<sup>e</sup> siècle, avec le ''Triduum pascal'', les Vendredi, Samedi et Dimanche de Pâques, comme l'atteste Saint Augustin (354-430) avec cette expression significative ''Triduum Christi crucifixi, sepulti et ressuscitati'' ou encore chez d'autres Pères de l’Église comme saint Ambroise (~330-397) ou saint Léon (V<sup>e</sup> siècle). Cette célébration se situe, vers le VII<sup>e</sup> siècle, trois jours précédant le dimanche de Pâques. C'est le ''Sacrum triduum''. On en a quelques traces grâce aux actes du Concile IV de Tolède en Espagne (an 633) qui montre déjà qu'à cette époque, liturgie et chant hispanique étaient unifiés.  
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'''Éthérie, Journal de voyage'''<sup>[[#25]]</sup> d'une pieuse et noble dame qui l'avait conduite sur les routes d'Égypte et de Palestine en l'an 393, ne donne pas beaucoup de précisions sur le déroulement de la Semaine Saint à Jérusalem, la Grande Semaine comme elle l'appelait. Elle décrit avec une certaine précision l'enchaînement des processions et des cérémonies qui, à cette époque, se déroulaient du lundi au dimanche de Pâques. On ne mentionne nulle part la récitation ou la psalmodie des Lamentations de Jérémie. Mais les journées étaient remplies de prières, de lectures d'hymnes, de psaumes et d'évangiles depuis le matin à la 7<sup>ème</sup> heure jusqu'au soir à la nuit quand a lieu le renvoi.
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L''''Ordre des Offices de la Semaine Sainte à Jérusalem du IV<sup>e</sup> au X<sup>e</sup> siècle''' <sup>[[#26]]</sup> du P. J.-B. Thibaut puise largement dans l'ouvrage d'Éthérie, sans apporter outre mesure des précisions essentielles. La Semaine Sainte, ou encore la Grande Semaine ainsi dénommée en Orient (Mεγάλη έβδομάς) est ainsi décrite surtout par ses aspects "extérieurs" (''Peregrinatio'' et manifestation dans les rues de Jérusalem) avec quelques indications concernant particulièrement la lecture des psaumes. On y fait référence d'un certain nombre d'ouvrages tels que le ''Lectionnaire arménien'' découvert par Conybeare, la ''Peregrinatio'' d'Euchéria, le ''Kanonarion'' des Ibères et le ''Typicon'' hagiopolite de 1122.
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Seul le ''Kanonarion'' hagiopolite géorgien donne une indication de l'utilisation des Lamentations de Jérémie, les versets 3:52-66, au cours d'une cérémonie du Grand Vendredi de la Passion, pour rappeler la dernière prophétie de la mort du Christ. C'est d'ailleurs suite à cette prophétie que l'on procède à l'Immersion de la croix" qui symbolise la sépulture de Jésus.
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Les Lamentations de Jérémie qui apparaissent dans l'Antiphonarium mozarabe<sup>[[#1]]</sup> du XIII<sup>e</sup> conservé au monastère Santo Domingo de Silos, appartiennent à une période comprise entre le VIII<sup>e</sup> et le IX<sup>e</sup> siècle.
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=== Office des Ténèbres ===
Le nom d' "Office des Ténèbres" ou tout simplement "Les Ténèbres" apparaîtra bien plus tard. Des sources récentes nous montrent que dès le XVIIIe siècle, selon M. de Berthomeuf<sup>[[#2]]</sup>, ''on ''[les]'' nomme ainsi ''[les Ténèbres]'', à cause que ces Offices se chantoient autrefois durant la nuit, sans autre lumiere dans l'Eglise que les cierges triangulaires que nous tenons encore ardens durant qu'on chante cet Office. ''Il ajoute aussi'' que dans ces heureux temps, l'on ne craignoit pas d'immodestie dans les Temples : tous ceux qui y venoient ne songeant qu'à pleurer leurs pechez sur la mort de Jésus-Christ. Il n'y avoit point d'irreverence à craindre, mais l'iniquité ayant refroidi la charité des Fideles, & cette sainte institution ayant été occasion d'un abus par l'impieté de plusieurs Chrétiens, qui firent servir aux desordres les Tenebres où l'on étoit durant le chant de l'Office. L'Eglise les fait celebrer durant le jour, ne reservant neanmoins dans l'Eglise que les cierges triangulaires, encore les éteint peu à peu, pour marquer les tenebres qui couvrirent toute la terre à la mort du Sauveur. On conserve un seul de ces cierges allumez, que l'on cache ordinairement derriere l'Autel, pour marquer comment Jésus-Christ fut caché dans le sepulcre''.
Le nom d' "Office des Ténèbres" ou tout simplement "Les Ténèbres" apparaîtra bien plus tard. Des sources récentes nous montrent que dès le XVIIIe siècle, selon M. de Berthomeuf<sup>[[#2]]</sup>, ''on ''[les]'' nomme ainsi ''[les Ténèbres]'', à cause que ces Offices se chantoient autrefois durant la nuit, sans autre lumiere dans l'Eglise que les cierges triangulaires que nous tenons encore ardens durant qu'on chante cet Office. ''Il ajoute aussi'' que dans ces heureux temps, l'on ne craignoit pas d'immodestie dans les Temples : tous ceux qui y venoient ne songeant qu'à pleurer leurs pechez sur la mort de Jésus-Christ. Il n'y avoit point d'irreverence à craindre, mais l'iniquité ayant refroidi la charité des Fideles, & cette sainte institution ayant été occasion d'un abus par l'impieté de plusieurs Chrétiens, qui firent servir aux desordres les Tenebres où l'on étoit durant le chant de l'Office. L'Eglise les fait celebrer durant le jour, ne reservant neanmoins dans l'Eglise que les cierges triangulaires, encore les éteint peu à peu, pour marquer les tenebres qui couvrirent toute la terre à la mort du Sauveur. On conserve un seul de ces cierges allumez, que l'on cache ordinairement derriere l'Autel, pour marquer comment Jésus-Christ fut caché dans le sepulcre''.
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Après avoir connu une longue tradition et un paroxysme à la période baroque, l'Office des Ténèbres tel qu'on l'a célébré au début de l'ère catholique n'existe plus aujourd'hui, mais c'est au profit d'un plus grand recentrage liturgique sur la période pascale, véritable temps fort pour la chrétienté. La semaine qui précède Pâques est et sera toujours sainte, le jeudi étant consacré à la messe chrismale, le vendredi à la célébration de la Passion et le samedi à la vigile pascale.  
Après avoir connu une longue tradition et un paroxysme à la période baroque, l'Office des Ténèbres tel qu'on l'a célébré au début de l'ère catholique n'existe plus aujourd'hui, mais c'est au profit d'un plus grand recentrage liturgique sur la période pascale, véritable temps fort pour la chrétienté. La semaine qui précède Pâques est et sera toujours sainte, le jeudi étant consacré à la messe chrismale, le vendredi à la célébration de la Passion et le samedi à la vigile pascale.  
On trouve encore les versets 1 à 7 et 15 à 21 du chapitre V des Lamentations de Jérémie à la prière du Samedi Saint au matin.
On trouve encore les versets 1 à 7 et 15 à 21 du chapitre V des Lamentations de Jérémie à la prière du Samedi Saint au matin.
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&#10152;  [[Lamentations|<span style="color:#994C6A;">Retour au sommaire</span>]]
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<span id="1"><small>''1. Mozarabe : vient de ''mustarab'' signifiant ''chrétien sous le joug des maures'' (les Maures ont envahi une partie de l'Espagne en l'an 711).</small></span>
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<span id="2"><small>''2. ''Instruction pour se disposer a la pasque chretienne, ou explication de toutes les ceremonies de l'Eglise, depuis le Mécredi des Cendres jusqu'à la Feste de l'Ascension''. Pour servir de supplément à ce qui n'a point esté mis dans l'Année Chrétienne de M. le Tourneux. Par M. de Berthomeuf. Seconde Edition. A Paris, chez Pierre Aubouyn Libraire de Nosseigneurs les Enfans de France, et Charles Clouzier, Quay des Augustins, à la Croix d'or. M. DCC. Avec Approbation & Privilege du Roy. (F-Pn D 25891), p. 70 et s.</small></span>
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<span id="3"><small>''3. ''Commentaire historique sur le breviaire romain, avec les usages des autres Eglises particulieres, & principalement de l'Eglise de Paris''. Par M. Grancolas, Docteur en Théologie de la Faculte de Paris. Tome I, Où il est traité de l'Office Divin en general. A Paris, Chez Ph. N. Lottin, Imprimeur-Libraire, rue Saint Jacques, proche S. Yves, à la Vérité. M. DCC. XXVII. Avec Approbation & Privilege du Roi. [1727]</small></span>
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<span id="4"><small>''4. Homil. 30, in Genes.</small></span>
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<span id="5"><small>''5. ''Explication simple, litterale et historique des cérémonies de l'eglise : pour l'Instruction des Nouveaux-Convertis''. Par Dom Claude de Vert, Trésorier de l'Eglise de Clugny, Visiteur de l'Ordre de Clugny en la Province de France, & Vicaire Général de S. A. E. Monseigneur le Cardinal de Bouillon, Doyen du Sacré College, Abbé Général de Clugny, &c. A Paris Chez Florentin Delaulne, ruë S. Jacques, à l'Empereur & au Lion d'or. M. DCCVI. Avec Privilege du Roy & Approbations. ([[Abréviations|F-Pn B 3511]])</small></span>
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<span id="6"><small>''6. A Sens, matines durent encore près de quatre heures les grand'festes. A Lyon, celles de Noël sont de 4 ou 5 heures ; & à Noyon, le même jour, selon l'ancien ordinaire de cette église, elles étoient de 6 heures. Et ainsi il étoit tres-possible que celles des trois derniers jours de la semaine-sainte, durâssent aussi plusieurs heures & depuis minuit jusqu'au jour.</small></span>
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<span id="7"><small>''7. ''Les cérémonies. La semaine sainte, leur antiquité, leur histoire''. M. l'Abbé M. Houssaye (Extrait de la ''Revue des questions historiques''. – Avril 1878. Paris Librairie de Victor Palme, Editeur, Rue de Grenelle-Saint-Germain, 25. 1878 (B 23813).</small></span>
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<span id="8"><small>''8. "Affirmabant autem hanc esse summam vel cupæ suæ vel erroris, quod essent soliti stato die ane solem convenire et carmen Christo quasi Deo dicere secum invicem." (Plin. Epist. x, 97, 98.)</small></span>
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<span id="9"><small>''9. "Ad hymnos tota nocte decantandos vigilantes."</small></span>
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<span id="10"><small>''10. "Die festo christiani ritus in ecclesia pernoctabant." Cf. ''Traité des jeûnes de l'Église'', R. P. L ; Thomassin, prêtre de l'Oratoire, Paris, Muguet, 1680, in-80, 1re part., ch.VIII,  p. 129.</small></span>
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<span id="11"><small>''11. Cf. Thomassin, op. cit., chap. XVIII, pp. 123 et s.</small></span>
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<span id="12"><small>''12. Martyrium sancti Polycarpi, mense aprilis, VII Kalend. Maii majore sabbato. (Epist. Eccl. Smyrn. XVI, ap. D. Druinart ''Acta martyrum sincera et selecta''. Paris, Muguet, 1689, in-4, p. 34.) Quarto Idus Martias, die sabbati majore (''Passio sanctorum Pionii et sociorum ejus martyrum'', ap. eumd., p. 123.) Pagi remarque que les chrétiens n'ont jamais donné ce nom qu'au Samedi saint (''Critica in Ann''. Baronn. ad ann. J.-C. 67, Aug. Vindel, 1738, tom. II, col. 1074), le chap. IX du liv. V des ''Const. apost''., consacré au Samedi Saint est en effet intitulé : περί τής παννυχίδος τού μεγάλου σαζζατου (Patrol. græc., tom. I, col. 392). Il est étonnant que Ruinart hésite autant à se prononcer.</small></span>
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<span id="13"><small>''13. ''Adv. Hæres''., lib. III, tom. II, n. 22. ''Patrol. græc''., tom. XLII, col. 828.)</small></span>
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<span id="14"><small>''14. Hom. XX in Genes. Aussi lisons-nous dans ''Pallad. in vita Chrysost''. "Excubat enim populus in partibus nostris ad primum usque Gallicantum."</small></span>
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<span id="15"><small>''15. T. I. Hom. XIV</small></span>
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<span id="16"><small>''16. Saint Jérôme écrivait son admirable lettre à Læta vers l'an 398.</small></span>
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<span id="17"><small>''17. "Jejunando et vigilando ascendit ad Pascha." (Serm. XXXIV, ap. Thomas sin. ''Traité des jeûnes'', p. 129.)</small></span>
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<span id="18"><small>''18. ''Inst''., lib. III, cap. VIII.</small></span>
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<span id="19"><small>''19. "Quid nocturnis convocationibus, si ita oportuerit, a latere suo adimi libenter feret ? quis denique solemnibus Paschæ, abnoctantem securus sustinebit ?" (Tertull., lib. II, ''Ad Uxorem'', cap. IV, Ed. Migne, tom. I, col. 1294.)</small></span>
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<span id="20"><small>''20. Saint Jus., Apol. I, 67. ''Patrol. græc''., t. VI, col. 429 et ''Const. apost''., lib. V, C. XIX, Patrol. græc., t. I, col. 893. Les ''Constitutions'' parlent ici particulièrement du Samedi saint.</small></span>
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<span id="21"><small>''21. Cogimur ad litterarum divinarum commemorationem si quid præsentium temporum qualitas aut præmonere cogit aut recognoscere." (Tertull. ''Apolog''., C. XXXIX. Edit. Migne, tome I, col. 468.)</small></span>
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<span id="22"><small>''22. Bossuet, ''Médit. sur l'Évangile'', XCVIII<sup>e</sup> journée. Œuv. compl. Vivès, t. VI, p. 286.</small></span>
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<span id="23"><small>''23. M. Grancolas, ''op. cité'', p. 246.</small></span>
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<span id="24"><small>''24. On en parlera plus en détail par la suite.</small></span>
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<span id="25"><small>''25. '''Éthérie, Journal de voyage''', Texte latin, introduction et traduction de Hélène Pétré, Docteur ès lettres, Les éditions du Cerf, Paris, 1964.</span>
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<span id="25"><small>''26. '''Ordre des Offices de la Semaine Sainte à Jérusalem du IV<sup>e</sup> au X<sup>e</sup> siècle''' (Études de liturgie et de topographie palestinienne), P. J.-B. Thibaut des Augustins de l'Assomption, Paul Feron-Veau, Paris, 1926.</span>

Version actuelle en date du 7 décembre 2012 à 13:57

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