La didascalie catholique

De Lamentations de Jérémie.

Ligne 530 : Ligne 530 :
Lors du jour suivant, ''l'on suit le même ordre que les autres jours  ; la ''lamentation'' à quatre voix, est de la composition d'Allegri, un dessus entre au verset ''jerusalem''. Le ''miserere'' à deux choeurs, est du même compositeur, l'on termine la fonction par l'oraison ''quæsumus Domine eo''.''
Lors du jour suivant, ''l'on suit le même ordre que les autres jours  ; la ''lamentation'' à quatre voix, est de la composition d'Allegri, un dessus entre au verset ''jerusalem''. Le ''miserere'' à deux choeurs, est du même compositeur, l'on termine la fonction par l'oraison ''quæsumus Domine eo''.''
-
== Brève des cérémonies des années 1860 ==
 
-
Le Manuel des cérémonies de Léonard Olivieri  réunit en un fascicule ce qu'on pourrait appelé une brève des cérémonies à Rome dans les années 1860. Les cérémonies ne sont pas décrites dans le détail mais des renseignements sur la musique interprétée au cours de la semaine sainte sont toujours intéressante à prendre dans la mesure où elles sont rares dans les documents qui sont parvenues à ce jour.
+
&#10152; [[Lamentations|<span style="color:#994C6A;">Retour au sommaire</span>]]
-
C'est ainsi qu'on apprend ou qu'on confirme que la cérémonie débute à 22 h 30 le mercredi soir et à 21 h 30 le vendredi soir, et qu'elle est empreinte de la douleur où l'eglise est plongée, […] justement défini par cette belle expression italienne : uffizio di lutto, e come rappresentazioni dei funerali del Redentore, une fonction de deuil et comme la reproduction des funérailles du Rédempteur.  
+
 
-
On précise aussi qu'au cours du premier Nocturne du Mercredi saint, à la chapelle Sixtine, on chante la musique à quatre voix de Palestrina pour la première Lamentation de Jérémie et le plain-chant pour les deuxième et troisième Lamentations. Il en est de même le Jeudi saint . Ce ne sont pas des grandes révélations mais la rareté de la précision valait la peine de la divulguer.
+
== Autres sources ==
-
Ce manuel indique par ailleurs pour les Matines de cette même chapelle pour le Vendredi saint, que les trois nocturnes se chantent dans l'ordre indiqué pour les matines de la veille, à savoir Lamentation à quatre voix (sans autre précision mais il semble que ce soit encore de Palestrina) et, à la fin le Hyerusalem à cinq voix d'Allegri .
+
 
-
A la Basilique Saint-Pierre de Rome, au cours des Matines du Jeudi saint, les Lamentations et le Miserere s'y disent en musique , mais sans précision de l'auteur.
+
Le '''Manuel des cérémonies''' de Léonard Olivieri  réunit en un fascicule ce qu'on pourrait appelé une ''brève'' des cérémonies à Rome dans les années 1860. Les cérémonies ne sont pas décrites dans le détail mais des renseignements sur la musique interprétée au cours de la semaine sainte sont toujours intéressante à prendre dans la mesure où elles sont rares dans les documents qui sont parvenues à ce jour.
 +
 
 +
C'est ainsi qu'on apprend ou qu'on confirme que la cérémonie débute à 22 h 30 le mercredi soir et à 21 h 30 le vendredi soir, et qu'elle est ''empreinte de la douleur où l'eglise est plongée'', […] ''justement défini par cette belle expression italienne'' : uffizio di lutto, e come rappresentazioni dei funerali del Redentore, ''une fonction de deuil et comme la reproduction des funérailles du Rédempteur''.  
 +
 
 +
On précise aussi qu'au cours du premier Nocturne du Mercredi saint, à la chapelle Sixtine, on chante la musique à quatre voix de Palestrina pour la première ''Lamentation'' de Jérémie et le plain-chant pour les deuxième et troisième Lamentations. Il en est de même le Jeudi saint . Ce ne sont pas des grandes révélations mais la rareté de la précision valait la peine de la divulguer.
 +
 
 +
Ce manuel indique par ailleurs pour les Matines de cette même chapelle pour le Vendredi saint, que les trois nocturnes se chantent dans l'ordre indiqué pour les matines de la veille, à savoir ''Lamentation'' à quatre voix (sans autre précision mais il semble que ce soit encore de Palestrina) et, à la fin le ''Hyerusalem'' à cinq voix d'Allegri .
 +
 
 +
A la Basilique Saint-Pierre de Rome, au cours des Matines du Jeudi saint, les ''Lamentations et le Miserere s'y disent en musique'' , mais sans précision de l'auteur.
 +
 
 +
Le '''Cæremoniale Episcoporum ''' de 1752 donne quelques indications quant au rôle de l'Evêque pour les Matines des ténèbres. Les renvois en bas de page, datées de 1960, sont de la main de Mgr Léon Gromier, cérémoniaire papal.
-
L
 
-
E Cæremoniale Episcoporum  de 1752 donne quelques indications quant au rôle de l'Evêque pour les Matines des ténèbres. Les renvois en bas de page, datées de 1960, sont de la main de Mgr Léon Gromier, cérémoniaire papal.
 
4. Du côté de l’épître , on place le chandelier triangulaire , conçu pour soutenir quinze cierges de cire commune , pesant chacun une livre ou environ, qui sont allumés en même temps que les [six] cierges de l’autel, également de cire commune, un peu avant la venue de l’évêque.
4. Du côté de l’épître , on place le chandelier triangulaire , conçu pour soutenir quinze cierges de cire commune , pesant chacun une livre ou environ, qui sont allumés en même temps que les [six] cierges de l’autel, également de cire commune, un peu avant la venue de l’évêque.
-
5. Après avoir fait ses prières habituelles, l’évêque, laissant traîner la queue de la cappa à terre [sans caudataire], monte à son trône. Il n’a alors aucun chanoine assistant, mais seulement quelques chapelains en cotta qui se tiennent autour de lui. S’il plaisait mieux à l’évêque de siéger au chœur, avec les chanoines, ce serait louable.
+
 
-
6. Étant demeuré un instant assis au trône, l’évêque se lève, tête découverte – tous se levant [avec lui] – et, en direction de l’autel, dit le Pater noster, l’Ave Maria et le Credo secrètement jusqu’à la fin. Alors il se couvre la tête du capuchon, et se tient ainsi jusqu’à ce que, à son signal, le chœur ait dit l’antienne Zelus domus tuæ, etc. L’antienne achevée et le premier psaume commencé, il s’assied, les chapelains arrangeant les bords de la cappa ; les chanoines et tous les autres s’assoient pareillement.
+
5. Après avoir fait ses prières habituelles, l’évêque, laissant traîner la queue de la ''cappa'' à terre [sans caudataire], monte à son trône. Il n’a alors aucun chanoine assistant, mais seulement quelques chapelains en ''cotta'' qui se tiennent autour de lui. S’il plaisait mieux à l’évêque de siéger au chœur, avec les chanoines, ce serait louable.
 +
 
 +
6. Étant demeuré un instant assis au trône, l’évêque se lève, tête découverte – tous se levant [avec lui] – et, en direction de l’autel, dit le ''Pater noster'', ''l’Ave Maria'' et le ''Credo'' secrètement jusqu’à la fin. Alors il se couvre la tête du capuchon, et se tient ainsi jusqu’à ce que, à son signal, le chœur ait dit l’antienne ''Zelus domus tuæ'', etc. L’antienne achevée et le premier psaume commencé, il s’assied, les chapelains arrangeant les bords de la ''cappa'' ; les chanoines et tous les autres s’assoient pareillement.
 +
 
7. À la fin de chacun des psaumes, un cérémoniaire ou un chapelain, avec les révérences prescrites, se rend avec l’éteignoir au chandelier triangulaire. [D’abord] il en éteint le cierge placé à l’extrémité du côté de l’évangile ; puis, à la fin du second psaume, celui du côté opposé : il éteint ainsi [quatorze] cierges, alternativement des deux côtés, un par un, à la fin de chaque psaume tant du premier nocturne que des suivants et des Laudes.
7. À la fin de chacun des psaumes, un cérémoniaire ou un chapelain, avec les révérences prescrites, se rend avec l’éteignoir au chandelier triangulaire. [D’abord] il en éteint le cierge placé à l’extrémité du côté de l’évangile ; puis, à la fin du second psaume, celui du côté opposé : il éteint ainsi [quatorze] cierges, alternativement des deux côtés, un par un, à la fin de chaque psaume tant du premier nocturne que des suivants et des Laudes.
-
8. Après le verset qui suit l’antienne à la fin du troisième psaume de chaque nocturne, l’évêque se lève tête découverte – tous se levant [pareillement] – et, le répons fini, dit secrètement Pater noster en totalité, comme précédemment ; cela fait, il s’assied, tête couverte, et tous s’assoient.
+
 
 +
8. Après le verset qui suit l’antienne à la fin du troisième psaume de chaque nocturne, l’évêque se lève tête découverte – tous se levant [pareillement] – et, le répons fini, dit secrètement ''Pater noster'' en totalité, comme précédemment ; cela fait, il s’assied, tête couverte, et tous s’assoient.
 +
 
9. Alors, avec les révérences prescrites à l’autel et à l’évêque, les chantres se rendent au légile  préparé au milieu du chœur, ou au lieu habituel selon les coutumes des églises, où ils chantent les Lamentations ; lorsqu’elles sont finies, ils se retirent, faisant les révérences à l’autel et à l’évêque.
9. Alors, avec les révérences prescrites à l’autel et à l’évêque, les chantres se rendent au légile  préparé au milieu du chœur, ou au lieu habituel selon les coutumes des églises, où ils chantent les Lamentations ; lorsqu’elles sont finies, ils se retirent, faisant les révérences à l’autel et à l’évêque.
 +
10. Les leçons des second et troisième nocturnes sont chantées, selon l’usage de l’église, soit par les mêmes chantres, soit par des chanoines, en commençant par les moins anciens, chacun prenant une leçon.
10. Les leçons des second et troisième nocturnes sont chantées, selon l’usage de l’église, soit par les mêmes chantres, soit par des chanoines, en commençant par les moins anciens, chacun prenant une leçon.
-
11. Au Benedictus, l’évêque se lève, tête découverte, et tous se lèvent. Lorsqu’on dit le verset Ut sine timore, etc., un cérémoniaire ou un chapelain, avec l’éteignoir, éteint un des [six] cierges de l’autel à chaque verset, en commençant au coin de l’évangile, et en alternant [entre les côtés]. Pareillement, on éteint tous les autres luminaires dans l’église, s’il y en a, excepté devant le Très Saint Sacrement, en sorte que tout se trouve éteint à la fin du Benedictus.
+
 
-
12. Lorsqu’on répète l’antienne après le Benedictus, le cérémoniaire ou chapelain retire du chandelier triangulaire l’unique cierge resté allumé, placé au sommet du triangle, et, la main élevée, le tient au-dessus du coin de l’autel du côté de l’épître  ; lorsqu’on commence Christus factus est pro nobis, etc., il le cache, allumé, derrière l’autel ou d’une autre manière.
+
11. Au ''Benedictus'', l’évêque se lève, tête découverte, et tous se lèvent. Lorsqu’on dit le verset ''Ut sine timore'', etc., un cérémoniaire ou un chapelain, avec l’éteignoir, éteint un des [six] cierges de l’autel à chaque verset, en commençant au coin de l’évangile, et en alternant [entre les côtés]. Pareillement, on éteint tous les autres luminaires dans l’église, s’il y en a, excepté devant le Très Saint Sacrement, en sorte que tout se trouve éteint à la fin du ''Benedictus''.
-
13.   Pendant la susdite répétition de l’antienne, l’évêque descend du trône ; lorsqu’on commence Christus factus est, etc., il s’agenouille au faldistoire préparé devant l’autel, tous se mettant à genoux. Ensuite, le chœur commence Pater Noster en silence  ; puis le psaume Miserere mei, Deus, etc., chanté, mais d’une voix larmoyante .
+
 
-
14. Le psaume fini, l’évêque [demeurant] à genoux, et la tête un peu inclinée, récite à voix claire (soit sur le livre, soit de mémoire) l’oraison Respice, quæsumus, etc., jusqu’à [la conclusion] Qui tecum exclusivement, et l’achève secrètement.
+
12. Lorsqu’on répète l’antienne après le ''Benedictus'', le cérémoniaire ou chapelain retire du chandelier triangulaire l’unique cierge resté allumé, placé au sommet du triangle, et, la main élevée, le tient au-dessus du coin de l’autel du côté de l’épître  ; lorsqu’on commence ''Christus factus est pro nobis'', etc., il le cache, allumé, derrière l’autel ou d’une autre manière.
-
15. L’oraison finie, un cérémoniaire fait un fracas ou bruit – le strepitum – en frappant de la main pendant un bref moment sur un banc ou sur un livre, et tous font pareillement jusqu’à ce que le [chapelain ou autre] cérémoniaire rapporte au milieu le susdit cierge allumé, qu’il avait caché : aussitôt [le cierge] reparu, tous doivent cesser de faire du bruit .
+
 
-
16. Le strepitum fini, l’évêque et tous se lèvent, et se retirent de la manière et dans l’ordre où ils sont venus.
+
13. Pendant la susdite répétition de l’antienne, l’évêque descend du trône ; lorsqu’on commence ''Christus factus est'', etc., il s’agenouille au faldistoire préparé devant l’autel, tous se mettant à genoux. Ensuite, le chœur commence '''Pater Noster''' en silence  ; puis le psaume ''Miserere mei, Deus'', etc., chanté, mais d’une voix larmoyante .
 +
 
 +
14. Le psaume fini, l’évêque [demeurant] à genoux, et la tête un peu inclinée, récite à voix claire (soit sur le livre, soit de mémoire) l’oraison ''Respice, quæsumus'', etc., jusqu’à [la conclusion] ''Qui tecum'' exclusivement, et l’achève secrètement.
 +
 
 +
15. L’oraison finie, un cérémoniaire fait un fracas ou bruit – le ''strepitum'' – en frappant de la main pendant un bref moment sur un banc ou sur un livre, et tous font pareillement jusqu’à ce que le [chapelain ou autre] cérémoniaire rapporte au milieu le susdit cierge allumé, qu’il avait caché : aussitôt [le cierge] reparu, tous doivent cesser de faire du bruit .
 +
 
 +
16. Le ''strepitum'' fini, l’évêque et tous se lèvent, et se retirent de la manière et dans l’ordre où ils sont venus.
 +
 
17. On observe les mêmes choses aux Matines des ténèbres les deux jours suivants, sauf que l’autel, le trône de l’évêque, et tout le sanctuaire et le pavé [du chœur] sont complètement dépouillés ; on pourra toutefois employer un coussin [violet] au trône de l’évêque, s’il le désire. On veillera à ce que l’Office s’achève à une heure tardive , c’est-à-dire, le soleil couché.
17. On observe les mêmes choses aux Matines des ténèbres les deux jours suivants, sauf que l’autel, le trône de l’évêque, et tout le sanctuaire et le pavé [du chœur] sont complètement dépouillés ; on pourra toutefois employer un coussin [violet] au trône de l’évêque, s’il le désire. On veillera à ce que l’Office s’achève à une heure tardive , c’est-à-dire, le soleil couché.
-
Les Jésuites avaient codifié le rituel religieux de la Semaine Sainte pour éviter certaines déviations. C'est ce que le R.P. Maggio, visiteur des collèges de la Compagnie, détermine très exactement dans un chapitre de son ouvrage Histoire de la Compagnie de Jésus  intitulé Circa cantum sacelli : les trois lamentations seront chantées, ou à plusieurs voix sur une mélodie triste, avec les répons en chant grégorien, ou par un soliste en grégorien avec les répons en musique (ce qui pourra se faire aussi par les répons des leçons suivantes). Cet exposé était destiné au Collège de Clermont à Paris .
 
-
L
+
Les Jésuites avaient codifié le rituel religieux de la Semaine Sainte pour éviter certaines déviations. C'est ce que le R.P. Maggio, visiteur des collèges de la Compagnie, détermine très exactement dans un chapitre de son ouvrage ''Histoire de la Compagnie de Jésus '' intitulé ''Circa cantum sacelli'' : ''les trois lamentations seront chantées, ou à plusieurs voix sur une mélodie triste, avec les répons en chant grégorien, ou par un soliste en grégorien avec les répons en musique (ce qui pourra se faire aussi par les répons des leçons suivantes).'' Cet exposé était destiné au Collège de Clermont à Paris .
-
'Édition 1935 du Manuel de liturgie et Cérémonial romain de Le Vavasseur, Haegy et Stercky n'apporte pas d'évolution significative au cérémonial romain présenté au siècle précédent par Le Vavasseur. On y retrouve l'ordre des antiennes et des psaumes ainsi que les leçons dont on précise qu'elles sont chantées devant le pupitre placé au milieu du chœur. Cependant, si c'est l'usage, celles du premier nocturne, c'est-à-dire les lamentations, peuvent être chantées par des Chantres, et de la place qu'ils occupent, même hors du chœur .
+
 
-
Il est précisé toutefois en note, qu'aucun instrument de musique, pas même l'orgue ni l'harmonium, ne peut accompagner les lamentations, les répons et le Miserere  ; la coutume contraire n'est pas tolérée .
+
L'édition 1935 du ''Manuel de liturgie et Cérémonial romain '' de Le Vavasseur, Haegy et Stercky n'apporte pas d'évolution significative au cérémonial romain présenté au siècle précédent par Le Vavasseur. On y retrouve l'ordre des antiennes et des psaumes ainsi que les leçons dont on précise qu'elles sont chantées ''devant le pupitre placé au milieu du chœur. Cependant, si c'est l'usage, celles du premier nocturne, c'est-à-dire les lamentations, peuvent être chantées par des Chantres, et de la place qu'ils occupent, même hors du chœur .''
 +
 
 +
Il est précisé toutefois en note, ''qu'aucun instrument de musique, pas même l'orgue ni l'harmonium, ne peut accompagner les lamentations, les répons et le Miserere  ; la coutume contraire n'est pas tolérée'' .
On pourrait multiplier à l'envi les extraits de cérémoniaires. Mais ces exemples sont suffisamment complets et explicites pour mieux comprendre le déroulement des Ténèbres. Bien entendu, il subsiste ça et là des particularités attachées à des coutumes locales ou à la persistance d'habitudes. Mais, dans l'ensemble, le fidèle catholique, en changeant de paroisse, de région ou de pays, n'est pas perdu dans le déroulement des cérémonies, que ce soit pour les Offices des Ténèbres que pour les autres, d'ailleurs.
On pourrait multiplier à l'envi les extraits de cérémoniaires. Mais ces exemples sont suffisamment complets et explicites pour mieux comprendre le déroulement des Ténèbres. Bien entendu, il subsiste ça et là des particularités attachées à des coutumes locales ou à la persistance d'habitudes. Mais, dans l'ensemble, le fidèle catholique, en changeant de paroisse, de région ou de pays, n'est pas perdu dans le déroulement des cérémonies, que ce soit pour les Offices des Ténèbres que pour les autres, d'ailleurs.

Version du 28 juin 2010 à 16:37

Outils personnels