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De Lamentations de Jérémie.
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Antonio Angelo Miari
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(Bellune 13 Juin 1778 – Landris di Sedico, Bellune 28 août 1854) Compositeur italien, issu d'une famille noble, encouragé par son père, il étudie le violon et le piano avec Giovanni Battista Maschietti, en 1797 est nommé capitaine d'une compagnie de hussards, approfondit en 1797-98 le contrepoint sous la direction du chef de chœur de la basilique à Padoue avec Luigi Antonio Sabbatini et son disciple Gaetano Valeri, se perfectionne au clavecin et à l'orgue avec Ferdinando Gasparo Turrini et Gaetano Valeri, se consacre à la composition de musique religieuse et instrumentale mais reste un amateur éclairé, rencontre et fréquente des compositeurs d'opéra avec qui il entretient des relations amicales et de la correspondance comme F. Morley, Nicola Vaccai, Pietro Bresciani, Giovanni Agostino Perotti, Giacomo Meyerbeer, Johann Simon Mayr, Gioacchino Antonio Rossini, Gaetano Donizetti, Stafano Pavesi, Johann Kaspar Aiblinger, Bonaventura Furlanetto, Antonio Callegari, Valentino Fioravanti, devient membre honoraire de l'Académie philharmonique de Bologne en 1815, de la ''Società Filarmonica'' de Belluno en 1822, de la ''Unione Filarmonica'' de Bergame en 1824, à titre personnel de la ''Accademia Filarmonica'' de Turin en 1824, préside la section musique de la ''Società Apollinea'' de Venise en 1825, membre honoraire de la ''Società dell'Armonia'' de Venise en 1828, de la ''Società Musicale'' de Graz en 1829, la ''Società Filarmonica dell'Impero'' à Vienne en 1829, adjoint de la Société du Nouveau Théâtre en 1835, membre de la ''Società Apollinea'' de Venise en 1838, devient membre honoraire de l' ''Accademia di Santa Cecilia'' de Rome en 1846, membre de l'''Istituto Filarmonico degli Alfioni'' de Vérone en 1852 et en 1850 l'un des fondateurs et le premier président de la Société Philharmonique qui a donné naissance à une école de l'enseignement. Un intérêt particulier se manifeste pour "paraphraser" un genre de musique spirituelle sur des textes liturgiques en langue vernaculaire. Sur la base des exemples célèbres du passé et contemporain (B. Marcello, N. Jommelli, JC Aiblinger), il entonne avec succès la paraphrase de Evasio Leone sur les ''Treni del profeta Geremia''. Ces cinq dernières Lamentations composées en 1820-21 lui valent l'estime des deux éminents historiens de la musique, Frans Sales Kandler et Raphael Georg Kiesewetter, avec qui il entretient une correspondance étroite. Il laisse une œuvre significative et très considérée à son époque, dans laquelle on trouve des ''Lamentazioni di Geremia Profeta'', 5 pièces pour soli, ch. et instr., composées en 1820 et restées en manuscrits. * ''Lamentazione Prima del Profeta Geremia, Ahi come siede abbandonata sola'', pour S, T, B et chœur (1820), ms55 ([[abréviations|I-Blc]]), * ''Lamentazione Seconda Di Geremia Profeta Posta in Musica, Che veggio ahim?! di quale caligine profonda'', pour S, A, T, B et Coro(3V), vlc et cl. (1821-1822), ms56 ([[abréviations|I-Blc]]),
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